Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Biologie | Dessins et plans | Géographie | Suez (Egypte), Golfe de | Hérons | Ornithologie | Ardéidés | Aqaba (Jordanie) | Oiseaux échassiers | Ruissellement (hydrologie) | Érosion marine | Biscarrosse (Landes) | Blocs-schémas | Eaux de ruissellement | Apure (Venezuela) | Mer Rouge | Herbiers | Proies et prédateurs | Prédation (biologie) | ...
Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Alose. Source : http://data.abuledu.org/URI/52013ef9-alose

Alose

Alose (Alosa fallax) : L'alose est un poisson anadrome de la famille des Clupeidae, qui comprend également la sardine et le hareng, notamment. On en trouve dans les eaux littorales et continentales des façades de la Manche et de l’Atlantique ainsi que dans les estuaires de la façade atlantique, particulièrement celui de la Gironde. D'avril à juin, l'alose remonte le cours des fleuves côtiers et de leurs affluents de la façade atlantique française pour s'y reproduire. La ponte est dite « active ». La durée de ponte s’étend de 23 heures à 5 heures du matin, mais la période de plus forte activité se situe entre 1 heure et 3 heures du matin, quand la température de l’eau atteint au moins 18°C. Le mâle et la femelle remontent en surface, se positionnent face à face et tournent sur eux-mêmes en frappant violemment la surface de l’eau avec leur nageoire caudale, créant beaucoup de bruit et de remous. C’est pendant cette phase, appelée « bull », que la femelle expulse ses œufs et que le mâle les féconde. Le comptage acoustique des bulls est utilisé pour évaluer l'intensité de la reproduction et son évolution dans le temps.

Canal d'irrigation. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dbfa3-canal-d-irrigation

Canal d'irrigation

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.169 ; manuel scolaire, édition de 1904 : CANAL D'IRRIGATION. - Les canaux d'irrigation destinés à répandre l'eau dans les champs sont absolument nécessaires dans les départements du Midi, où les plantes souffrent surtout de la sécheresse. La vallée du Rhône, si aride, verra ses terrains doubler et tripler de valeur lorsqu'un canal d'irrigation répandra dans la campagne les eaux fertilisantes qu'il aura empruntées au Rhône. Ce canal servira en même temps à la navigation et permettra aux bateaux de remonter plus facilement de Marseille jusqu'à Lyon.

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fde64f-carte-de-la-reserve-du-cap-tourmente-au-quebec

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec en bordure du St Laurent. La réserve du cap Tourmente couvre 2 396 ha sur les berges de l'estuaire du Saint-Laurent à la rencontre des régions géologiques des basses terres du Saint-Laurent et du plateau laurentien16. La rencontre de l'escarpement du plateau et des premiers kilomètres de l'estuaire du fleuve provoque un microclimat où l'hiver est légèrement moins froid, mais plus humide que dans les régions avoisinantes et l'été plus frais. On identifie quatre éléments géomorphologiques sur la réserve : la batture ou l'estran, la plaine, la plateau laurentien et, à la jonction du plateau et de la plaine, la zone de contact. 1) L'estran se compose de la slikke, de la haute slikke et du schorre. Une microfalaise d'environ un mètre sépare la slikke du schorre. Le marécage côtier est établi sur le schorre. La slikke et le schorre sont traversés de chenaux de marée par où s'écoulent les eaux lors du jusant. La haute slikke est la zone colonisée par le Scirpe d'Amérique et forme ainsi le marais intertidal. Un talus de plusieurs mètres sépare le schorre de la plaine. 2) La plaine s'insère entre l'estran et le plateau laurentien. La plaine, qui repose sur un substrat de shale d'Utica, est structurée en quatre terrasses façonnées par le retrait en phases successives de la mer de Goldthwait. Les dépôts de sédiments laissés par la mer ont rendu les terres très fertiles pour l'agriculture. 3) Le plateau laurentien avec l'escarpement qu'il engendre constitue un trait marquant du paysage de la réserve. Certaines falaises ont un dénivelé vertical de presque 100 mètres et le point le plus haut de la réserve s'élève à 571 mètres d'altitude. 4) La zone de contact est constituée par un amalgame des éléments de la plaine et du plateau. L'érosion (érosion fluviale, éboulis) entraîne vers le bas du versant pierres, sédiments et minéraux caractéristiques du plateau qui s'amoncellent avec les sédiments et la roche sédimentaire propres à la plaine.

Diatomées vues au microscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e92d-diatomees-vues-au-microscope

Diatomées vues au microscope

Diatomées, groupe phytoplanctonique le plus répandu. Les Bacillariophyta (diatomées) sont des microalgues unicellulaires planctoniques (de 2 μm à 1 mm) présentes dans tous les milieux aquatiques (avec une préférence pour les eaux froides) et enveloppées par un squelette externe siliceux. Elles peuvent vivre isolées ou en colonie, être libres ou fixées. Les formes pélagiques appartiennent au phytoplancton, les formes benthiques appartiennent au microphytobenthos. Les diatomées sont un constituant majeur du phytoplancton et jouent donc un rôle primordial dans la vie des écosystèmes marins, à l'origine des réseaux alimentaires de nombreuses espèces. Environ 100 000 espèces sont répertoriées, mais elles pourraient être bien plus nombreuses. À l'inverse des écosystèmes terrestres, la productivité des écosystèmes océaniques est principalement assurée par les algues avec une faible contribution des plantes vasculaires. Les algues englobent une grande variété d'organismes allant de simples organismes unicellulaires à des organismes plus complexes comme les macroalgues. Les plantes vasculaires se limitent aux herbiers. La majorité de la productivité océanique est assurée par le phytoplancton. On estime qu'il est à lui seul responsable de 75% de la production primaire océanique3, les autres autotrophes (herbiers et macroalgues) étant souvent limités à des zones restreintes de l'océan : les zones côtières où les eaux sont peu profondes et suffisamment lumineuses.

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/55c138e5-exposition-sur-l-erosion-cotiere-en-aquitaine

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine

Exposition sur l'érosion côtière en Aquitaine, Biscarrosse-40, juillet 2015 : érosion de côte rocheuse.

Golfes de Suez et d'Aqaba. Source : http://data.abuledu.org/URI/5531625b-golfes-de-suez-et-d-aqaba

Golfes de Suez et d'Aqaba

Golfes de Suez et d'Aqaba, 10 février 2009. Le golfe d'Aqaba est situé à l'est de la péninsule du Sinaï et à l'ouest de la péninsule d'Arabie. L'Égypte, Israël, la Jordanie et l'Arabie saoudite en sont les États riverains. Il atteint la profondeur de 1 850 mètres, mesure 24 km à sa plus grande largeur pour une longueur totale de 160 km. Comme l'ensemble des eaux côtières de la mer Rouge, c'est un des premiers sites du monde pour la plongée sous-marine. Le secteur est particulièrement riche en corail et en biodiversité marine et contient un certain nombre d'épaves sous-marines, résultant de quelques naufrages accidentels mais aussi de navires délibérément coulés pour fournir un habitat aux organismes marins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Golfe_d%27Aqaba

Héron cocoi au Venezuela. Source : http://data.abuledu.org/URI/5383a26c-heron-cocoi-au-venezuela

Héron cocoi au Venezuela

Un Héron cocoi (Ardea cocoi). Photo prise dans le Modulo Chititera, dans les plaines (Llanos) de l'État d'Apure (Venezuela). Il fréquente, toujours solitaire, les eaux saumâtres du bord de mer à la recherche de poissons. Bien que répandu sur la bande côtière, ses effectifs ne sont pas importants. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9ron_cocoi

Lamantin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa726f-lamantin

Lamantin

Lamantin (Trichechus manatus) se nourrissant dans un herbier. le Lamantin est un mammifère herbivore se nourrissant exclusivement de plantes aquatiques (50 kg par nuit environ), jouant ainsi un rôle écologique important pour la pénétration de la lumière dans l'eau. Vivent en eaux littorales peu profondes, dans l'embouchure des fleuves et les marais côtiers de la zone tropicale de l'Atlantique. Leur faciès large et leur mode d'alimentation leur vaut parfois le surnom de « vaches de mer » ou « vaches marines ».

Méduses en aquarium. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7c23a-meduses-en-aquarium

Méduses en aquarium

Méduses dans l'aquarium d'Atlanta. Très souvent fuie à cause de ses cellules urticantes, la méduse a néanmoins des prédateurs. Les deux plus grands consommateurs de méduses sont la tortue Luth dont elle est le mets favori, et le poisson lune. Le thon rouge en est aussi très friand. Dans une moindre mesure, des crustacés apprécient le cadavre de certaines espèces. La surpêche ou la disparition des espèces prédatrices des méduses (thons, harengs, anchois, tortues), la disparition de leurs concurrentes telles que les sardines qui augmentent la quantité de nourriture disponible, « la destruction des fonds marins par les chalutiers qui favorise leur reproduction, le réchauffement des eaux, et l'eutrophisation des milieux côtiers » stimulent leur prolifération, au point que les chercheurs Philippe Cury et Daniel Pauly font la conjecture provocatrice qu'« il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29 ; Philippe Cury et Daniel Pauly, Mange tes méduses !, Éditions Odile Jacob,‎ 2013, 224 p.

Poulpe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5051ab5b-octopus3-jpg

Poulpe

La pieuvre commune ou poulpe commun (Octopus vulgaris) est une espèce de pieuvre de la famille des octopodidés vivant dans les eaux côtières des mers tropicales et sub-tropicales. C'est l'espèce de pieuvre la plus étudiée, notamment pour son intelligence particulièrement élevée pour un invertébré. Le corps est entièrement mou hormis un bec comparable à celui des perroquets.